dimanche 22 juin 2008

Oyambarillo, un village avec un projet éco-touristique

Bon, voilà le premier message du Nord! Pour tout dire, Oyambarillo était un village magnifique avec des gens forts sympathiques. Le manque de confort n'était pas dans les caractéristiques du village, où douches à l'eau chaude se retrouvaient dans la plupart des maisons. De plus, ayant déjà concocté un projet de développement éco-touristique, la population de ce village nous a demandé de l'aide afin de construire marches, tente, clotures et aussi de défricher à la machette des arbustes avec des pics. Tout ça afin de construire un sentier qui se dirige vers un centre éco-touristique (en projet de construction) dans une montagne de plus de 4000 mètres d'altitude. En plus de leur projet de développement, la communauté est fort acceuillante avec leurs fêtes enflammées et leur grand coeur, juste assez pour qu'un autre groupe de Sens revienne faire l'expérience d'un autre stage dans ce village.

Pour ce qui est de moi, mes trois soeurs m'ont faites tripper et leur invitation pour la fête de San Pedro, le 4 juillet ne sera pas refusé.

Greg

mardi 17 juin 2008

Et c'est déjà un départ ...


En ce mardi 17 juin, notre stage prend bientôt fin. Nous partons demain matin en direction de l'aéroport afin de se rendre par la suite à Quito et faire notre fabuleux examen final. Je crois sincèrement parler au nom de tous les "Senseux Saraguriens" en disant nous allons tous laisser nos familles et la communauté de Kiskinshire avec le coeur gros. Nous avons passé deux semaines formidables avec les gens de la communauté qui ont été plus qu'accueillants! Hier soir, une partie d'entre nous avons fait une soirée "canadienne" en préparant un bon petit souper typiquement de chez nous. Je crois qu'à partir de ce moment, l'échange culturel a atteint son apogé. Le spaghetti sauce tomate à quand même été apprécié par plus de la moitié de ma famille, ce que je peux considérer comme un exploit! Quant aux crêpes desserts, elles furent un franc succès. Ce plat rentre désormais en compétition avec leur fameux empanadas!

Sur ce, il est temps d'aller passer nos derniers moments avec nos familles et préparer la fiesta finale.

Ne vous inquiétez pas, on prend soin de nous!

La Anna-Maria

Tout tire déjà à sa fin!

Après 18 jours passés à Saraguro, il est très difficile de tourner la page sur autant de beaux moments. Dans ce lieux oú seul les locaux veulent bien s'y rendre, les 10 gringos que nous sommes y ont trouvés des gens attachants, chaleureux et super généreux. Nos familles d'accueil nous ont ouvertes leurs portes et leurs vies comme si nous étions leurs propres enfants. Nous y avons découvert une culture, un mode de vie et des valeurs qui ne pourront être effacé par le temps. Nous quitterons la petite communauté de Kisquinchir (notre terre d'acceuil dans cette région) la tête pleines de beaux souvenir et d'histoires à raconter à notre retour.

La prochaine et dernière étape pour nous, sera de tous se revoir, à Quito, afin de partager se qui nous a tous menés ici, l'expérience d'une vie!

Felipe

samedi 14 juin 2008

Des cours d'anglais à Catacocha





Hier nous avons terminé nos cours d'anglais. Tous les jours de 3 heures à 5 heures. Environ 60 jeunes sont venus à tous les jours.











Francis a même donné des cours de français.








Le directeur de la bibliothèque (lieu où se déroulait les cours) était très content et nous a fait une petite fête pour nous remercier.








Les jeunes d'ici étaient vraiment contents.

Je crois aussi que les SENSeux ont bien aimé leur expérience.



Manon












vendredi 13 juin 2008

Catacocha... en fin de journée.

Tous les soirs, Catacocha se couche dans les nuages.




Hier, nous sommes montés voir le point de vue le plus haut de Catacocha.


Manon








Une journée bien remplie à CATACOCHA


Bonjour tout le monde.

Hier (jeudi), les gars de l'organisme avec qui nous travaillons nous ont organisé une journée "plein air" dans les environs de CATACOCHA. Voici un bref apperçu.
Tout d'abord, un tour de téléphérique au-dessus des montagnes.















Et sous un soleil bien présent (comme a tous les jours ici).








Par la suite, une baignade dans la rivière.


C'est la seule photo que j'ai. C'est la photo des gars de l'organisation qui sont venus se baigner en boxers blancs (photo prise par Laurent-Dominic et non par moi-même).







Conclusion... Nous nous sommes bien amusés.


Manon





mercredi 11 juin 2008

Des nouvelles de CATACOCHA


Ça fait maintenant plus d'une semaine que nous sommes ici à Catacocha. Perchée sur un plateau et entourée de vallées et de montagnes, Catacocha est une petite ville de 6000 habitants.






Les étudiants ici sont réparties dans des communautés plus ou moins loin de la ville. Pour certain il faut 40 minutes de camion et 45 minutes de marche pour ce rendre. Pour d'autres, il faut 15 minutes de marche et 15 minutes d'autobus.


Les familles sont trés accueillantes. Toutes les familles (ou presque) ici pratiquent l'agriculture biologique. Ils ont de merveilleux jardins plein de légumes, de fruits, de plantes médicinales et de fines herbes. Ils ont aussi des poules, des coqs, des cochons et parfois des montons, des chevaux, des ânes et des vaches. Les étudiants se lèvent tôt pour aider leur famille.


La première activité a été de rencontrer des étudiants finissants du Collègue des Frères Maristes. Une heure en espagnol a parler du Canada, du Québec, de notre culture, de notre langue. Un bel échange très apprécié par les étudiants du Canada et de Catacocha.






Par la suite, le directeur du collège nous a lancé un défi que nous ne pouvions pas refuser. Un match de basket ball contre les gars du collège. Tous les éleves (environ 400) sont venus assistés à un match fort "endiablé". Bon, même si nous avions beaucoup de suporteurs, nous avons fait piètre figure. Une défaite écrasante de 5 à environ 30. Toutefois, si nous ne sommes pas très bon au basket ball, nous sommes excellent dans l'art d'animer une foulle.



















Lundi nous avons aussi commencé les cours d'anglais à la bibliothèque. De 3 heures à 5 heures tous les jours de la semaine nous donnons des cours d'anglais. Fort populaire, nous avons fait 4 groupes de 15 étudiants selon les forces. Il y a même un groupe, les plus âgés, qui nous a demandé des cours de français.


En résumé, tout va bien et nous sommes bien occupés à traire des vaches, à ramasser des cacahouetes, à peinturer des écoles et à donner des cours.


À suivre. Manon

mardi 10 juin 2008

Photos 2008 Frederico la Costa et Saraguro


La séparation des 4 groupes de la côte (Manglaralto, Olon, San Pedro et Libertad Bolivar). Snifffff triste de courte durée. Ici Nuka, Karelle, Cynthia, Marie-Michelle et Laura en route pour Libertador Bolivar avec notre mode de transport préféré, la camionette .

Les chicas (Ruxandra, Frederique, Catherine,
Jacynthe et Elizabeth) en plein travail a Manglaralto. Projet de tourisme communautaire des jeunes écologistes. Et le prof lui, il fait quoi ? Il prend des photos !?










Saraguro, le village

vu de notre communauté.




Saraguro, et ses vaches en pleine ville!














Saraguro, 2 hermanos en pleine marche de santé.








Saraguro. Un arc-en-ciel comme on en voit presque tous les jours.

Quelques Gringos au pays de l´ arc-en-ciel de Saraguro

Salut á toutes les lectrices et tous les lecteurs de ce blog.

Nous sommes ici (Saraguro) depuis 2 jours et les paysages sont merveilleux. Le Paramo (nuages d´altitude) nous fait entrevoir au moins un arc-en-ciel par jour. Chaque étudiant réside dans une famille autochtone et apprend les us et coutumes de ce peuple extarordinaire. Le riz, le poulet, le plantain, la fumée des voitures, les éclats de rire, le bruit des pétards festifs en pleine nuit, le jappement des nombreux chiens errants, quelques mots de Quechua font intégralement parti de notre quotidien. L'Equateur c´est plusieurs pays en 1 seul. Nous avons commencé notre périple sur la côte chaude et festive pour ensuite revenir á la ville bruyante mais tellement dynamique de Cuenca. Le Parc Cajas quoique un peu nuageux nous a fait voir toute la beauté des paysages des montagnes qui nous attendaient ici á Saraguro (le pays du maïs ou Choclo pour les habitués).

Romelio, l´organisateur de la communauté nous expliquera sous peu les travaux de groupe qui nous attendent. Il est intéressant de voir á quoi a servi l´argent des étudiants de l´an passé. essentiellement á poursuivre les travaux de la Casa de las Mujeres et installer un système d´aqueduc. Plusieurs sorties dans diverses communautés sont également au programme. La fin de semaine prochaine les 2 groupes de Saraguro et de Catacocha se réuniront pour une fin de semaine (avec douche chaude! Youppi !) de repos á Vilcabamba. Les photos s´en viennent, c´est á suivre. Désolé pour les accents, les claviers sont un peu étranges et quelques touches sont effacées.

A bientôt avec plus de détails et surtout des photos.

Ciao

El professor muy Féliz Federico

Saraguro et les travaux de groupes.

Travaux de groupe à Saraguro.
Une pierre après l`autre. Petit train va loin.




Le lancer de la pierre par Jacynthe.
Sarah, Angel, Anne-Marie, Gabrielle et Maggie.


Toute le monde ensemble, une fois notre travail accompli. Un peu de repos maintenant.

Demain, notre rencontre avec le Chaman. Ça promet!

Ma route vers le soleil

Sur la ruta del sol, j'ai eu la chance de rencontrer une des familles les plus aimables et généreuses. Anabel la mère et Umberto le père, semblaient porter leur sourire avec une fierté incomparable à ce que j'ai vu dans ma courte vie. Leurs enfants ne pouvaient que démontrer une joie immense grâce à l'amour inconditionnel donner par la mère et le père.

Cependant, un jour lorsque nous discutions de nos activités, j'avais frappé un grand mur de béton armé, heavy duddy, sortit directement du Rona. Nous avions demandé à quoi ressemblait l'île dont nous nous apprètions à visiter. Une île que l'un des pècheurs comparait aux îles Galapagos que nous avions vue aussitôt sur la plage et que nous étions invités à visiter pour un misérable petit 7 dollars. Et bien, il étais là mon mur. La famille n'avait jamais eu la chance de visiter cette île puisque c'était trop dispendieux. Pensez-y, une île juste a côté de chez vous et que dans une vie d'au moins 40 ans, vous n'ayez jamais eu la chance de la rendre visite.

Mais reste que malgré tout, leur bonheur était immense et incassable. Curieusement, je n'ai pas toujours eu les meilleures relations avec ma mère, mais cela m'avait rappellé une phrase qu'elle m'avait dite quand j'étais enfants et que je chiallais pour je ne sais pas trop quoi..."Nuka, happiness is not having, happiness is being"

Le bonheur n'est pas d'avoir, le bonheur est d'être.

A vous d'en faire ce que vous voulez.

Dans les montagnes de la Promistilla

 vous qui êtes dans "le terre plein"
Du bas d'une grande vallee qui s'appelle "la promistilla", trois petits hommes bredouilles (Eric, Laurent, Nuka) savourent à gorge deployée, le vent opalescent qui flagèle les montagnes. Une petite école pointe à l'horizon. Un peu triste d'ailleurs. Mais nos trois "bredouilleurs" décidèrent de se métamorphoser en trois "supers pros de la peinture bonne humeur", question de ravigotter un peu les murs de la connaissance de ces jeunes fort turburlants ;)

Une terre aride, des cactus, des épines, un soleil plombant de même qu'un ciel étoilé, teintent nos nuits et nos journées depuis notre arrivée. Les sourires remplis de richesse (tsé veut dire Guillaume) se veulent par quinzaine ;)... Une "promistilla" qui berce ces chers petits hommes québecois au creux d'une mer équatorienne.

Eric

Un bref instant dans les nues

Du haut du ciel nous parviennent les échos parfois tendres des nuages qui se posent sur la terre. Ici nous voyons monts et vallées défiler au rythme doux d une bachata amoureuse. Le réveil au chant du coq nous pousse hors du lit sous les étoiles attendant patiemment la lente monté célèste de l'astre du matin. Ici le fond de l'air est chaud, mais la route est longue et le chemin hasardeux. C'est ainsi donc qu avec peine nous atteingons la route de las Cochas pour prendre l'autobus de l'aube qui nous enlève à la promesse et nous amène au bout du monde. Un trajet bercé par la pénombre où virages et cahots nous endorment doucement. Les heures passent lentement à qui sait attendre, mais le jour nous berce doucement.

J'ai pris ces quelques instants d'éternité pour vous dire qu'ici tout va pour le mieux. Au milieu des ronces, de la brume, des chiens et des vaches, l'Équateur suit son cours avec ou sans nous. Nous y sommes et pensons doucement aux jours qui coulent. J'aime à savoir que peu importe où la vie nous mène, il y a toujours un chez soi au détour du chemin.

Laurent

P.S.: le chat vous fait dire bonjour

samedi 7 juin 2008

Tundunda et ses coq.

Salut à tous ! (Excusez les accents et fautes: les claviers espagnols) On a effectué deja une petite semaine dans les familles a Catacocha. Moi je vis vraiment dans un trou ! Il me faut faire environ 45 minutes - 1h de marche avant d atteindre une route, puis de la route on marche un autre 45 min ou on prend un bus (ou pick up ou toutes sortes de vehicules roulants...) pour arriver a Catacocha ou on va donner à partir de la semaine prochaine des activités d apprentissage d anglais. On est très privilegiés pour la temperature qui ne nous a fait aucune mauvaise surprise avec un ciel bleu et une chaleur confortable (25 - 30 degres). J ai été destabilisé de voir la pauvreté de ma famille qui somme toute, vit très bien... Chaque matin je me suis habitué désormais à prendre l ane pour aller chercher l eau au puits et ensuite aller iriguer le champs. Je suis heureux parce qu on fait pousser du café et ma dépendance est comblée chaque matin avec un VRAI café bio et equitable.

Un désavantage immense est l emplacement du poulailler par rapport à ma chambre... Les &%$%@ de coq de 4h à 6h sans arrêts me font perdre patience assez facilement. Outre cela notre petite crew de Tundunda a bien du plaisir et on vit une experience vraiment extra !

Salutations distinguées,

Francis

samedi 31 mai 2008

La ruta del Sol






Nous sommes alles sur la cote du Pacifique en vue de soutenir le tourisme communitaire de Manglaralto ( je sais pas si c est bien ecrit) Ainsi le groupe s est separe en quatre pour vivre dans des familles de quatres petites villes de la cote durant 4 jours. Frederique, Jacynthe, Chaterine , Elisabeth, Frederico et moi etions heberges dans la maison de la presidente de la mision de tourisme communautaire. Elle nous a tres bien accueilie dans un grand confort et de plaisants repas a chaque jour. Nous avons ansi eu la chance de gouter a du poisson, crevettes frais et divers jus de fruits tropicaux, une experience gustative innoubliable. Malgre le fait que la vie de la ville etait plutot tranquille avec l immense ocean Pacifique qui bordait les maisons, nous avons eu plusieurs acctivites au programme dont du cheval en montagne ( dont je n ai pas de photo et j espere que Frederico va en mettre!) , du travail de defrichage en vue de construire de nouvelles maisons et accroitre le tourisme de la ville (projet soutenu par les garcons du village ayant entre 19 et 20 ans) puis de la plonge en plein mer. De plus les fiestas n ont pas manques et ce fut un moment pour tous de s initier a la cumbia. Ruxandra pour la 3 e fois

San Pedro (la Costa) y Cuenca

Apres tout le bruit et lhumidite de Guayaquil, nous avions besoin daller a un endroit chaud mais pas trop humide. Nous sommes alles sur la Côte dans des petites communautes. Jetais a san Pedro et les familles qui nous ont accueillis etaient merveilleuses. On a peint trois murs afin de les aider. NO BOTAR LA AGUA SUCIA Y LA BASURA A LA CALLE (ne jeter pas leau sale et les dechets dans la rue). Voici un aperçu de ce que nous avons vu a Cuenca : beaucoup de festivites du au 24 mai et une parade dans le cadre du festival olympique de Cuenca. Regardez et admirez . Cest magnifique et en plus on sest baigner dans locean Pacifique. ¡WOW! Quoi de plus beau.

Je vous aime,

Mariane

Cuenca , une ville merveilleuse







Durant notre sejour de 2 jours a Cuenca nous avons assistes a de grandes festivites religieuses garnies de feux d artifices et de pàtisseries et sucreries debordant de plusieurs contoirs. La presence religieuse se fait beaucoup sentir et cette ville ressemble grandement a une villes des campagnes europeenes (comme celle de mon pays natal la Roumanie). En effet je peut dire que ce fut un de mes coups de coeur jusqua present apres la cote du Pacifique. Avec de grands marches de fruits, viandes et autres , cette ville presente un decor de ventes et de marchandage. Il y a beaucoup de Quechuas et de blancs egalement ce qui m a beaucoup etonnee par rapport aux gens vivant la cote du pacifique. Les gens ici on senblent heureux de vivre et ne cherchent aucument a harceler ou voler les touristes comme ce fut le cas dans la ville Guayaguil. Ruxandra

dimanche 25 mai 2008

Tapòn!!

Hola todo el mondo!!
Gabriella (D.), Enrique y Sofia vous envoi un message en directe du village de Olòn pour vous faire part de toutes les merveilleuses expériences que nous sommes en train de vivre. En ce moment, nous sommes 6 étudiants dans le village, notre famille d'accueil est tout simplement géniale et notre balcon donne vue sur... l'océan Pacifique!!... dont nous avons bien profité aujourd'hui!! (incluant chasse aux crabes et construction de chateaux de sable)
En à peine trois jours, nous avons rencontré des personnes totalement dévouées, des gens merveilleux et magiques!! Tranquilement pas vite, nous nous habituons au rythme latin et aprenons à nous intégrer dans ce merveilleux pays!!
Demain le travail nous attend! Nous allons aller donne un coup de pouce dans une apiculture et visiter l'université du village!
Il est tellement difficile de mettre des mots sur tout ce que l'on vit en ce moment!! ce stage nous procurent une expérience de vie des plus enrichissante et nous sommes heureux comme jamais!! (malgré les grosses bebittes !!)
Hasta la proxima!!

samedi 24 mai 2008

Apercu de Pascuales un des bidonvilles de Guayaquil




Il fait Chaud..mais tout est beau...nous avons visite une famille monoparentale de Pascuales ansi qu une fondation des soeurs de la misericorde qui viennent de Montreal et qui se sont inslalles il y a10 ans pour but d aider les femmes monoparantales dans le besoin, en gardant leurs enfants...la photo a gauche represente une des familles monoparentales qui nous a acceuillis lors de notre visite ¡
que des beaux moments... Ruxandra

vendredi 2 mai 2008